mmmh quel régal...

Ce week-end, j'ai vécu un de ces moments où le corps a ses propres réactions que la raison ne contrôle plus...

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Mon beauf' possède dans son jardin un magnifique cerisier très prolifique. C'est avec délectation que nous en avons tous pris notre tribu de fruits charnus et appétissants. Et d'une, de la goûter. Et de deux. Puis à pleine main je les engouffrais dans ma bouche, savourant leur succulent goût sucré à souhait avec une pointe d'acidité. Comme toute cerise qui se respecte, il en va de soi. Plus tard, je décidais de les préparer pour les accomoder dans un délice de clafouti. La saveur aurait satisfait mon palais insatiable de ce fruit. L'image aurait avec joie agrémenté la partie miam de ce blog, pour le plaisir de tes yeux, ami lecteur.


Je dénoyaute une cerise. Horreur! un ver! Bon, ce n'est qu'une cerise, je la jète et on n'y pense plus. Je dénoyaute une deuxième cerise. Pouark! un autre ver! Ah mais non quoi ! Poubelle ! Je dénoyaute une troisième cerise, puis une quatrième, une cinquième, une dixième... Toutes pulullent de monstres qui se tortillent dans tous les sens. YEURK! BEURK! Et toutes celles que j'ai déjà mangées! Goulument, sans les mâcher ... POUARK! BEUARGH! 8-[##~~'